NON à la RIE III: pas aux dépens des PME et de la classe moyenne
Le NON du souverain à la troisième réforme de l’imposition des entreprises engendre l’insécurité juridique, alors que cette réforme devait accroître la compétitivité. Le PS Suisse en porte la res-ponsabilité. Difficile d’évaluer l’ampleur des conséquences négatives. Mais pour l’usam, une chose est sûre: ces conséquences ne doivent être supportées ni par la classe moyenne ni par les PME. Il ne peut être question d’augmenter l’imposition des dividendes ni d’introduire un impôt sur les gains en capital.